• Les particuliers en direct deviennent la premier source de revenu des diagnostiqueurs immobiliers : pour 43,3 % des professionnels, ils représentent plus de 40 % de leur activité, devant les prescripteurs agents immobiliers et notaires.
• Pour développer leur clientèle de particuliers, les diagnostiqueurs privilégient d’abord les notaires (importance 1,98 sur 3) devant les particuliers en direct, puis les agents immobiliers.
• Les particuliers prennent contact avec leur diagnostiqueurs d’abord au téléphone. Pour 38,1 % des diagnostiqueurs immobiliers cela représente plus de 60 %de leurs contacts avec les particuliers, puis dans l’ordre décroissant : par l’intermédiaire de courtiers, puis de leur site internet et enfin au travers d’évènements (salons…).
• Les diagnostiqueurs souhaitent à l’avenir privilégier les appels entrants (importance 3,17 sur 4) et également leur site internet (importance 2,88 sur 4).
• Le facteur de succès pour développer leur clientèle de particuliers est par ordre d’importance (noté sur 5) : la notoriété (3,43), puis la communication de qualité, le tarif le moins cher, la force commerciale et enfin la présence d’une vitrine.
• 72,0 % des diagnostiqueurs immobiliers s’estiment bon ou très bon quant à leur notoriété contre 48,1 % pour leur communication.
• Les attentes des particuliers vis-à-vis des diagnostiqueurs immobiliers sont d’abord le délai : pour 93,4 % des professionnels cette attente est forte ou très forte. La compétence des professionnels (24,5 % jugent l’attente forte et très forte) arrive en dernier, derrière le devis, l’explication, l’accompagnement.
• Vis à vis de la satisfaction de leurs clients, 41,5 % des professionnels estiment que leurs clients les recommanderaient à un ami suite à leur intervention